Cole Richards~~Mercenaire/Yamakasi~~
Messages : 6
Holocarte d'identité Inventaire: Race: Humain Relations:
| Sujet: Cole Richards, Mercenaire. Ven 20 Aoû - 8:33 | |
| Présentation du personnage Nom et Prénom : Cole Richards
Age: 32
Race: Humain
Origine: Concord Dawn
Profession : Mercenaire
Physique:
Presque gringalet d'apparence pour un ancien soldat des forces spéciales, Cole n'en est pas moins costaud. Sa tenue de combat des FS ne le quitte plus depuis que lui les a quittés. Chveux coupés courts sans tomber dans le "2/2" habituel des soldats, le mercenaire fait 1 m 83 pour 81 kilos, ce qui est tout à fait raisonnable. Il a les cheveux bruns et les yeux verts fonçés. Le mercenaire, malgré une certaine carrure, était souple et agile, et a acquerit après des années d'entraînement, un contrôle presque parfait du "parkour" ou "free run" qu'il utilise fréquemment en cas de fuite, pour rattraper une cible, ou parcourir une ville. La longue entaille que lui a infligé un Nexu, qui parcourt son dos en diagonal, le fait souffrir quotidiennement, c'est un point faible.
Caractère:
Cole ne fait confiane qu'à une personne : lui-même. Particulièrement antisocial et par la même occasion antipathique et cynique à ses heures. Il apprécie le travail bien fait, mais à du mal à le faire en équipe. Préférant mener que l'être, il supporte mal l'autorité. Tête brûlée et fonceur, il n'a pourtant aucun problème à attendre et fabriquer des pièges. Etant originaire de Concord Dawn, il apprit très tôt le Mando'a et conserve une voix grave et l'accent marqué de sa planète d'origine. Renfermé sur lui même, Cole à du mal à s'attacher et accorder sa confiance. Certains le traiteront parfois d'égoïste snobinard. Pas totalement vrai et pas totalement faux à la fois, au "travail", le mercenaire ne comprend pas l'utilité de l'humour et fait passer ses interêts et son objectif avant l'éthique et les lois. En simplifié, il fait tout pour obtenir ce qu'il veut, la fin justifie les moyens. Sa seule et unique distraction -ainsi qu'un de ses meilleurs moyens de passer le temps- est de s'enfermer dans une bulle de vieux rock qu'il écoute en boucle, il apprécie également le classique dramatique qu'il écoute pendant l'action. Grâce à quelques gros coups, Richards à acquis une certaine réputation dans le milieu, mais reste toujours méthodique et appréciant peu les médias et tout ce qui s'y rapporte. Intelligent et bricoleur de nature, Cole a pour habitude d'améliorer tout ce qui tombe sous ses mains, du moment que ça peut lui servir. Pourtant, quelques fois, quand il a quelques crédits en poche et qu'il se balade en ville, il n'hésite pas à donner de l'argent aux mendiants.
Histoire:
Enfance :
Commencement
Concord Dawn, un jour d'hiver, de neige. Une petite tête vit le jour pour la première fois. Cole Richards était née. Une enfance froide, comme le jour où il était née. Père, disparu. Mère, disparu. Où ? Comment ? Pourquoi ? Voilà une des "quêtes" de Cole. Il faisait froid. Le jeune garçon ouvrit les yeux. Il dormait sous le porche d'une maison paysanne avant que le propiétaire de ladite maison ouvre la prote et chasse le squatteur. Ce dernier mit plusieurs heures à réaliser ce qui lui arrivait. On l'avait lâchemment abandonné. Cole erra plusieurs jours, mandiant dans les rues pour survivre. Finalement, un groupe de Mandaloriens le recceuillit, et quelques mois, le jeune se fit une place dans le groupe de mercenaires grâce à son caractère déjà affirmé à cause de l'errance et de la débrouille. Pourtant, pas assez fort physiquement, le groupe finit par le rejeter, après que le petit diable se soit débattu et ai tué un des Mando, ce qui lui aurait valu la mort si ce dernier n'était pas arrivé à s'être échappé grâce à ses petites acrobaties. Après moult aventures, à 9 ans, Cole arriva à Coruscant, ville magnifique vue d'en haut et regardée d'en bas, mais ghetto vue d'en bas et regardée par le haut. Pourtant jeune, Cole arriva rapidement à sa faire un nom comme coursier grâce à son agilité. Se faisant à la vie politique et à la vie de la rue, il commença dès lors à économiser et ne dépenser que le strict minimum. Il se fit malheuresement aussi beaucoup d'ennemi mais arriva toujours à s'échapper in extremis. Malhabillé et sale, Cole ne payait pas de mine. Dans son quartier ghetto "d'en bas" on le traitait comme un enfant de la providence, lui donnant une pomme par simple pitié, il se faisait discret. Mais en haut, il filait comme le vent, passait telle une ombre, passant même des messages pour de haut politiciens, ayant même affaires avec des Jedis. Nombreuses étaient les fois où on lui proposa de travailler pour quelqu'un, mais Cole resta à son entière charge, et les années passèrent.
Adolescence :
Débrouillardise
16 ans, plus malhabillé, plus sale que jamais, mais pourtant plus en forme que jamais, Cole ne cessait de faire le coursier. Mais un jour, un groupe de voyous arrivèrent à son petit domicile, armes au poing. Cole n'avait pas une issue de secours. Sautant, virevolant, roulant, se blessant même, assommant les bélligérants, rien n'y fit. Il fut capturé par le chef des malfrats et passé à tabat pour qu'il révèle l'endroit où il planquait un message de la plus haute importance. Il fut matraqué, tabassé, mais rien n'y faisait. "Tout le monde à des limites, ce n'est qu'une question de temps" avançait le chef malfrat. Mais le temps est la seule chose que l'homme n'a pas encore domestiqué, et les forces de sécurité entrèrent dans l'appartement, braquant les criminels et libérant le jeune Cole ensanglanté. Cette affaire lui valu 3 semaines de soins à l'hôpital. Le jeune n'avait qu'un seul ami, un policier d'une trentaine d'années, digne de confiance, un bon type, celui à qui confit son gosse quand on part on bowling, vous voyez le genre. En dehors de Cole il était le seul à savoir où se trouvait le fameux message. Mais apparement quelqu'un savait qu'il savait. La famille du policier fut prise en otage, et sans hésité il révela la position exacte du message. Quelques jours plus tard, une grande banque du "monde" d'en haut se faisait braquer, seul un coffre avait été forçé. L'argent qu'il contenait, plus de 6000 crédits avaient été dérobés, et entre les billets, le vrai magot était là, le message. C'était le premier échec de Cole. Règle 1 : Ne faire confiance qu'à soi même. 3 jours après le braquage, le policier fut abattu dans la rue, en plein service, dans un quartier d'en bas tranquille, une balle logée dans la tête. A 600 mètres de là, la culasse mobile d'un vieux fusil de sniper à répétition se soulevait, et se reculait, avant de s'avançer de nouveau et de se rabaisser. Cole se leva, dépoussièrant son vieux t-shirt beige, repliant le bi-pied d'une antiquité. Pour une poignée de crédits, Cole avait eu accès à un petit bijou "dé-technologisé". Un fusil de sniper à culasse mobile, à projectiles (et non à énergie) poussiéreux mais encore fonctionnel. Cole n'avait éprouvé aucun sentiment, il avait été trahi, et le traître avait eu ce qu'il méritait. A 19 ans, Cole avait tué pour la première fois.
Formation :
Cole commença à prendre de l'élan, il démarra, les bras battants, il s'élança du haut de l'immeuble, retombant sur la pointe des pieds, il posa sa main puis son avant-bras et fit une roulade pour mieux s'amortir. Se levant, il regarda derrière lui, où il avait sauté. Les policiers le regardait, ébahis et dégoûtés. Content de son coup, le vieux fusil de sniper toujours en bandouillère, il tourna la tête, et reçu un violent choc dans la mâchoire avant de tomber par terre, inconscient. La gars des forces d'assaut de Coruscant ramassa le bras de Cole, avant de le tirer vers la case prison. Cole se réveilla, devant un politicien, assis dans la chaise la plus confortable qui puisse exister. C'était un client régulier du coursier. C'était de lui qu'émanait le message que Cole aurait dù porter si le flic ne l'avait dénonçé. Le politique imposa deux choix au futur mercenaire. La case prison, l'indémodable, ou une case plus originale. Le politicien avait des relations au sein de la police. Richards pouvait aussi intégrer les forces spéciales. Le choix ne se fit pas attendre. Dès le lendemain, Cole intégrait la police, au moins pour la forme, pour une semaine, car même si le polit' avait des relations, il fallais obligatoirement passer par la police avant d'espérer rejoindre les FS. Mais pour Cole, la police n'était qu'une formalité. En une semaine, le jeune homme appris le maniement des armes dans les règles, le language spécifique de la police et des forces armées, et tout ce qu'on devait apprendre. A la fin de la semaine, le politicien lui remit le vieux fusil à lunette, en récompense, pour intégrer les forces spéciales. Le lendemain, l'homme était mort. Le va et vient de la vie et la mort dans Coruscant.
Majoritée :
Les FS
Son entrée fut remarqué chez les spécialistes. Encore jeunot, Cole se débrouillait pourtant très bien. Renfermé pourtant, il ne faisait pas la joix de ses supérieurs. Première opération, démantelement d'une usine des Seps (Séparatistes dans le language abbrégé des soldats). Il devait s'infiltrer par la voie des eux, pour ensuite monter par les... douches. En tant que petit nouveau, on le ne le fit passer qu'en dernier. Cole avait un mauvais pressentiment, comme à son habitude, avaient remarqués ses collègues, il se vissa aux oreilles ses écouteurs et enclencha un opéra qui jouait une musique bien triste. Ses collègues s'étaient répartis dans la salle, se mettant à couvert comme ils pouvaient, mais ils étaient en contrebas, et un régiment de droïdes se mettaient en place dans un balcon entourant la pièce. Une brique se détacha d'un mur, et la mort se mit à pleuvoir. Paralysé par la peur, Cole tomba contre le mur, dans les canalisations, en dessous des douches, alors que le bruit de son opéra couvrait les bruits des hurlements des ces collègues. L'opéra se tut, les tirs aussi. Le plan était que si les membres de l'équipe mourraient, une bombe se larguée au dessus de la base, sans tenir compte d'éventuels civils. Cole n'avait aucun service à rendre aux Forces Spéciales. Débranchant son signlauer cardiaque, il se fit passer pour mort, et armé de son fusil à concussion LJ-50, quitta la base droïde, quelques secondes à peine avant que la base ne soit annihilée. Maintenant Cole était libre, et mort pour bien des gens, si ce n'est tous.
Mercenaire, retour aux sources
Et voilà qu'à 20 ans, Cole Richards revenait au métier de sa jeunesse : mercenaire. Son CV était plutôt bien rempli et il ne manquait de rien pour accomplir sa tâche à bien. Accomplissant des tâches variés, il se plaisait de son métier, et à 32 ans, il avait amassé pas mal de crédits, mais ses possessions se limitaient à ses armes et lui-même. Il n'avait besoin de rien ni de personne. Un de ses pires job constituait à s'assurer qu'un petit truand de Coruscant qui s'était planqué sur Cholganna ne revienne plus foutre son trafic sur la planète républicaine. Un des ses pires job, mais aussi des plus intérréssants à compter : Cole s'était cette fois, seulement armé des ses deux pistolets, il n'avait pas besoin de plus. Au coeur de la jungle, un périmètre cloturé et électrifié entourant une grande bâtisse. Il n'y avait que la cible de Cole pour venir s'installer ici. C'était la pleine lune. La Luna del Cacciatore comme l'appellaient certains. La Lune du Chasseur. Un garde passa devant la clôture, côté intérieur. De l'autre côté, une ombre se leva de dessous les feuillages. Visage peint d'un camouflage militaire sombre, Cole vérifia sa montre. Il n'aurait que 5 secondes grâce à sa coupure de courant programmée pour franchir le grillage. Soudain, alors qu'il fixait sa montre, les lumières protectrices de la maison s'éteingnirent. Sans attendre, le mercenaire s'aggripa à la cloture le plus silencieusement possible, arrivé en haut, il sauta, atterrissant en roulade à l'intérieur. La lumière se ralluma. Cole s'était remit dans un coin d'ombre. Silencieux, il marchait surl es pas du garde, enfin arrivé derrière lui, il sortit son pistolet à fléchettes FWG-5 et l'appliqua sur la nuque de la sentinelle, réglé sur tranquilisant. En une fraction de seconde, en un mouvement d'index, le garde s'écroulait dans le feuillage. Mais la cible principale du mercenaire ne tarda pas à s'appercevoir que quelque chose clochait quand son garde ne répondait plus et qu'une caméra de sécurité montrait un bras inanimé qui sortait de l'ombre. Le gros lourdeau qu'était la cible de Cole ordonna à ses hommes de couvrir les entrées. Un surveillait l'escalier, l'autre le couloir principal, deux autres la terasse. Le gros surveillait tous ses hommes (sauf les deux derniers) grâce à des caméras de sécurité. Le premier, qui surveillait l'escalier, entendit un bruit qui venait d'en bas, il s'en pencha, et soudain, quelqu'un aggrippa sa cravatte qui dépassait. Le pauvre bougre s'écrasa en bas dans un hurlement sinistre mélé au bruit qu'il faisait quand il cognait les rembardes en tombant. Le deuxième qui surveillait le couloir principale, sortit son arme à l'entente de la plainte de son pote. Mais alors que la cible le regardait à partir de la caméra. Une corde descendait jusqu'à son cou, quand il voulut avancer d'un pas, le garde se prit dans la corde, quelqu'un la serra et la remonta d'un seul coup. "Il m'en reste deux, c'est pas un problème" pensa le gros. Ce dernier pouvait voir ses hommes qui surveillaient la terrasse. Mais soudain, le rideau de fer s'abaissa, des coups de feu, des cris, des impacts se dessinaient à travers le rideau, laissant filtrer la lumière de la lune. La cible, arme automatique au poing, recula dans la pénombre, il recula encore, mais tout à coup, un couteau se glissa sous son menton. Le gros lâcha son arme, et proposa une énorme somme d'argent à Cole. Mais ce dernier ne fit que tendre une radio à la cible. Après quelques secondes, celui-ci redonna la radio à Cole, et les prochains ordres étaient de s'assurer que le gros avait bien compris qu'il ne devait plus revenir sur Coruscant. "Bien compris ?" lâcha le mercenaire. Le gros hôcha doucement la tête avant d'ajouter. "Bien compris" La lame se retira lentement, et Richards disparu dans l'obscurité. En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, Cole était dehors, et désactivait complétement le courant avant qu'il ne ressorte de la propriété. Arrivé au sommet de la clôture, il sauta pour arriver à l'éxterieur, mais dans les airs, Cole croisa un Nexu qui avai lui aussi bondit pour attraper sa proie. Richards baissa la tête au dernier moment manquant de se la faire trancher par les griffes acérées du prédateur. Lâchant un cri de stupeur, le mercenaire voulut se rattraper à une branche, mais celle-ci céda sous son poids, et sans pouvoir rien faire, Cole s'écrasa lamentablement au sol, ne pouvant s'empêcher un hurlement de douleur, il avait probablement la cheveille brisée. Le Nexu descendit de son arbre, lentement, tel un serpent, glissant sur le tronc. A plas ventre, Cole essayait de se tirer vers son pistolet KD-30. Mais le Nexu s'était rapproché, et sadique, dessinait une longue entaille dans son dos. Cole essayait de confiner la douleur alors que la créature continuait, mais finalement il aggripa son pistolet et tira une fléchette acide dans un des yeux du prédateur. Ce dernier lâcha sa prise, s'enfuyant en courant, hurlant à son tour de douleur, la douleur de l'acide qui se répendait. Mercenaire, ce n'était pas un boulot facile, et pourtant, Cole ne cessait de l'accomplir.
Armes :
* Fusil de Sniper R-700 :
Sa première véritable arme. Antiquité poussiéreuse pour certains, arme sans valeur et tellement précieuse pour Cole. Parfaitement huilé, le R-700 est un fusil à méchanisme ancien et archaïque. Il est peint d'une teinte noire et sombre. C'est la seule arme à ne pas avoir reçu de customisation. Elle tire des balles peu courantes mais dévastatrices qui permettent de traverser la plupart des boucliers vu que ces derniers ne sont pas construits pour résister à ces projetiles anciens. Cole se targue souvent d'avoir la plus grande quantité de ce calibre. Il a parcourut pas mal de planètes et récupéra plus de balles qu'il n'en tira.
* Fusil à Concussion LJ-50 :
Seule arme lui restant de son passage dans les Forces Spéciales Républicaines, cette dernière n'a pourtant pas échappé à la personnalisation de Cole, puisque celui-ci a ajouté un bi-pied rétractable sous le canon, un viseur holographique au-dessus, et une bandouillère attachée en permanence sur le gilet du mercenaire.
* Pistolet à Fléchettes FWG-5 :
Normalement utilisé pour pister une cible grâce à ses fléchettes, un sélecteur de fléchettes a été ajouté, permettant à Cole de tirer au choix, les fléchettes "traceuses" normales, des fléchettes remplies de puissants somnifères, et enfin, des balles (de vraies balles pas fléchettes) simples.
* Pistolet Dissuader KD-30 :
Arme redoutable, le KD-30 utilise lui aussi des fléchettes, mais enduites d'acide, qui se dissolvent même en ayant atteint sa cible, provocant une grande douleur chez cette dernière, la rendant facile à capturer. La guidage laser d'origine n'ayant pas suffit au Mercenaire, Cole le modifia lui aussi, raccourcissant le canon, mais sans prendre un air de "bandit", le canon raccourcit, donnant d'ailleurs à air plus aggressif.
* Vibro-lame simple :
Même si l'adjectif "simple" pourrait donner un air gentil à la vibro-lame de Cole, il n'en est rien dans la réalité. Splendide couteau de chasse, tranchant et efficace, il est pourtant plus lourd que la normale, mais le mercenaire à ajusté son fourreau au milieu du gilet, lui permettant de sortir la VL plus rapidement.
Signes particuliers, Autres:
L'insigne des FS républicaines est peinte sur le coin supérieur droit de son dos, un crâne squelletique de Nexu. Cole à aussi gagné une longue cicatrice qui parcourt tout son dos en diagonal, par la même bête.
(Rah, je les aimes mes Nexus, hein )
Vous
Découverte par: Euuuuhh, attendez je réfléchis.
Avez vous lu des documents, livre, comics ou vu les films de la saga star wars: Ouep.
Code du règlement: [OK By Don]
Dernière édition par Cole Richards le Sam 21 Aoû - 5:42, édité 1 fois |
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